Comme vous le savez tous, je suis rentré en France pour poursuivre le cours "normal" de ma vie. Toutefois, tout n'est pas encore dit dans le grand livre des jours anciens. Pour être précis, j'ai encore trois notes (dont une note bilan) à publier sur ce blog. Je le ferai quand j'aurai autre chose qu'un 35k (Je suis en ce moment-même dans le fin fond de l'Ariège pour les fêtes)
En attendant, je vous souhaite à tous, mesdames messieurs, de très bonnes fêtes et plein de bonnes choses pour la nouvelle année.
Je viens d'apprendre que mon chef de division est Mormon, et que celui pour qui j'ai travaillé avait un poste important dans une église locale, versait la dîme légale (10% du salaire brut) et tout et tout. Décidemment, j'aurais eu peine à trouver plus caricatural. Mais ce fut intéressant.
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Avant hier, j'ai dormi dans la demeure la plus somptueuse que je n'avais jamais vu. Vestibule de dix mètres avec peintures, collection de livres anciens, salle spéciale de répétition avec tout les instruments pour un groupe de musique, télé plasma murale avec équipement informatique adéquat, terrain de golf semi-privé, et un sofa trés confortable pour dormir dessus. En revanche, le propriétaire était trés con.
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Dans le cadre de mon entretien d'embauche, je dois envoyer un formulaire dans lequel on me demande:
"Quels sont les traits dominants de votre personalité reconnus par votre entourage ?"
Alors je vous demande. (Je crains le pire :P )
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Reçu le mail suivant d'EDF:
Compte tenu du temps nécessaire à la finalisation de l'embauche en CDI après l'entretien (délai administratif d'un peu moins de 1 mois, soit fin janvier), et afin de ne pas repousser ton arrivée au SEPTEN, je te propose une embauche en CDD le 2 janvier 2008, avec régularisation dans la foulée en CDI (régularisation sure, sous la seule réserve d'un résultat positif de l'entretien avec le cabinet).
He beh. Je n'aurais pas perdu de temps cette année.
Hier, mon manager m'a remis un petit chèque de récompense (500 $) pour le travail fourni. Je dois dire que ça fait bien plaisir de voir son travail récompensé de la sorte. C'est pas en France qu'un stagiaire sera récompensé pour avoir fait du bon travail...(En toute modestie, bien sûr)
Pour féter ça, je suis allé à un mini-concert dans un bar. Conclusion, ce matin, je me suis réveillé dans un lit que je ne connaissais pas. C'est la toute première fois que cela m'arrive.
Mais laissez-moi vous conter l'histoire dans son intégralité.
Or donc, accompagné d'un séide glané dans les sombres recoins de la guesthouse, nous partîmes fiers et altiers. (Je le précise d'autant plus volontier que le retour fut sans doute moins glorieux)
Arrivé dans le bar (dont je connaissais le patron, vu qu'il est aussi le propriétaire d'un "Mongolian Barbecue" que nous fréquentons assiduement avec des collègues. Je commande ma première boisson...et me fait aussitôt alpaguer par deux charmantes demoiselles (Carah et Amirah de leurs prénoms). Nous avons longuement discuté, et pas mal bu également.
A minuit, mon collègue me quittait. A partir de là, mes souvenirs sont flous - ou plutôt inexistants.
Le lendemain, je suis réveillé par un miaulement. J'avais beau être encore dans les brumes éthyliques, j'ai tout de même vite compris que quelque chose n'allait pas. J'étais dans un grand lit -seul, n'est ce pas, mais aurais-je vraiment été en état de faire quoi que ce soit de toute façon ?- dans une maison vide à l'exception d'une pièce d'où suintaient de sourdes respirations.
Le temps pour moi de chercher tout les indices sur le propriétaire de la maison (Courrier, photos) et de conclure que c'était un parfait inconnu, un téléphone sonnait dans la pièce mystérieuse...
INTERLUDE (Pas tout à fait innocent) Ecoutons deux extraits du prêche du pasteur.
Opposite sex
(Je traduirai jamais, j'ai la flemme)
J'eus donc le fin mot de l'histoire: les deux filles ainsi que moi même avons été ramené par un ami, qui jouait ce soir là dans un des groupes et qui était donc sobre. Je ne sais toujours pas ce qu'il s'est passé ce soir là, ni comment je me suis couché ni comment j'ai eu la présence d'esprit de retirer mes lentilles.
Mais, grand prince ! Pour remercier la petite troupe et faire montre de ma grandeur, je leur ai offert le petit dejeuner.
